L’histoire de la jarretière
Une coutume plus qu’ancienne
Même si l’on a tendance à qualifier le jeu de la jarretière comme has-been, démodé et autres qualificatifs, ce dernier fait parti des coutumes incontournables du mariage. Mais il faut savoir que la jarretière possède une longue histoire. Hervé Mariage décrypte pour vous cette fameuse tradition.
L’histoire de la jarretière
La coutume de la jarretière ne date pas d’hier ni du siècle dernier mais plutôt du quatorzième et plus précisément de la cour d’Édouard III qui été à ce moment précis à la tête de l’Angleterre. Lors d’une danse, la comtesse de Salisbury, maîtresse du monarque, a fait tomber de façon involontaire sa jarretière. Afin de la libérer de cette situation, Édouard III la ramassait et nouait à la jambe de cette dernière en citant « Messieurs, honni soit qui mal y pense ». Un ordre de chevalerie britannique fut créé par la même occasion par Édouard III.
Jeu de la jarretière et ses règles
À cette époque, il a été mis en place dans le but de compléter la dot de la jeune mariée à travers l’organisation d’enchères qui nécessite donc la participation des invités. Au fil des années, cette tradition a pris le pas sur la notion d’argent et fait plus référence au jeu pour amuser mariés comme invités. Comme à l’ancien temps, la jarretière doit être mise en vente. Si un homme remporte les enchères, il devra retirer la jarretière de la jambe de la mariée et ce avec les dents. Dans le cas d’une femme, la mariée pourra alors la garder. À savoir que lorsque les enchères montent, l’épouse doit monter petit à petit sa robe et du coup découvrir chaque fois un peu plus sa jambe. Vous l’aurez compris, ce jeu est déconseillé aux femmes qui sont timides ou bien pudiques.
Votre boutique Côté Mariage située au Mas Guérido à Perpignan vous accueille du Mardi au Samedi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30.
Crédit photo : fiestadebodas.com, deavita.fr